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Cette aventure m’est arrivée il y a quelques années. J’avais 32 ans et Huguette, qui travaillait avec moi dans une usine, en avait 48. Elle était très belle femme malgré son âge. Elle avait un visage très doux, sans aucune ride. Elle avait une magnifique paire de seins qui gonflait chacun de ses chemisiers. Le seul défaut de son corps était un popotin assez volumineux mais son charme comblait amplement cette lacune sans grande importance. Le soir de notre partie d’employés du temps des fêtes, où l’ambiance était toujours très chaude après plusieurs verres de boissons, nous en étions à un moment où tout le monde cherchait un compagnon ou une compagne pour finir la soirée dans le calme. Je n’avais aucune arrière pensée à ce moment là. Huguette savait que j’avais un faible depuis longtemps pour elle. Cette mature sexy nue en direct sur la cam fait bander tous les mecs. Je savais aussi qu’elle ne me détestait pas sans qu’il ne se soit jamais rien passé entre nous.

Lorsque l’orchestre commence à jouer un slow, je fais signe à Huguette et elle accepte avec un grand sourire sur le visage. C’était le premier de la soirée et chacun invitait toujours celle pour qui il avait un faible, c’était une tradition parmi nous.

La danse commence et Huguette se colle très fort contre moi. Je lui caresse le dos d’une main et lui passe un doigt dans le chignon de l’autre main. La sensualité du moment est incroyable, chacun des couples sur la piste de danse attendant ce moment depuis longtemps. Ma partenaire promène ses mains dans mon dos lentement et sans aucune pause. Puis elle lève sa tête et me regarde avec des yeux pleins de tendresse. Je lui fais un léger sourire et je fixe ses lèvres qui sont très attirantes. Elle fixent les miennes à son tour puis je vois chacune de ses lèvres se mette à vibrer de désir. Comme je viens pour joindre nos deux bouches, elle place son index sur mon menton et me chuchote : - Je te désires comme une folle depuis longtemps, Robert. J’accepte de me donner à toi mais seulement jusqu’à sept heures demain matin. Après, je ne veux pas qu’il y ait de suite à notre aventure, es-tu d’accord ? Je suis mariée et j’ai deux enfants, tu le sais. - Oui, Huguette, je te le promets. - Oh ! mon chéri, prends-moi et fais de moi tout ce que tu veux, je suis entièrement à toi. Et elle colle sa bouche à la mienne en l’ouvrant largement. Sa langue vient à la rencontre de la mienne et elle me fouille la bouche dans les moindre recoins. Quelques têtes se tournent vers nous, surpris de nous voir nous embrasser, mais j’en vois plusieurs nous imiter sans tarder. Ma compagne glisse ses mains sous mon gilet et commence à me caresser la peau du dos. La pression de ses mains me démontre toute l’envie et le désir qu’elle a pour moi. Je lui caresse les fesses et elle se laisse faire. Nos bouches se dessoudent enfin pour nous permettre de respirer et Huguette me regarde droit dans les yeux avec une expression que je n’avais jamais vu. Tout le désir qu’elle avait pour moi était marqué dans son expression, ne me laissant aucun doute sur ses intentions de se donner à moi. Cette bonne mère de famille, à qui l’on ne pouvait rien reprocher, toujours si fière et à sa place, était prête à tout pour moi. Je dépose ma main droite sur le haut de sa blouse et détache les deux premiers boutons. Elle baisse les yeux et regarde ma main. Je lui dis : - Laisse-moi les voir, cela fait tellement longtemps que j’en ai envie.

Et je détache un troisième bouton, écartant les deux côtés du chemisier. J’entre ma main dans le chemisier puis je tire sur le haut du soutif. Un sein magnifique, très ferme, coiffé d’une belle aréole surmontée d’un gros bouton m’apparaît. Je relâche le soutif et fais la même chose de l’autre côté pour voir l’autre sein. Je sens quelque chose entre mes jambes prendre du volume et de l’expansion. Huguette s’en aperçoit aussi et colle le bas de son ventre dessus.

Je me lève et, debout à quelques centimètres de son visage, je lui demande : - Tu veux ma queue ? - Oh ! Oui Robert… - Patience, tu ne l’apprécieras que plus encore le moment venu. Tu vas me manger les fesses qui te font tant fantasmer et en même temps masturbe-moi. Je lui tourne le dos et sans attendre, Huguette baisse mon caleçon et m’embrasse partout sur les fesses. Je prends sa main droite et la dépose sur ma verge au garde-à-vous. Elle ne peut la voir mais en l’entourant de ses doigts doux et délicats, elle émet un grognement de satisfaction et se met à me lécher les fesses. Je l’empêche de me masturber car je ne pourrais me retenir et je veux faire durer le plaisir. Des frissons me traversent des pieds à la tête. Elle se met à me mordiller les deux fesses, sans me faire mal mais avec toute la passion et le désir dont elle est capable. Puis, de sa main libre, elle écarte mes deux jambons et me lèche la raie et l’anus. C’est divin. Jamais une femme ne m’avait encore fait cela. Son immense désir pour mes fesses lui fait complètement perdre le contrôle d’elle et sans aucun avertissement, elle enfonce sa langue dans mon trou du cul. C’est merveilleux. Je sens ce petit morceau de viande tout humide chercher à pénétrer le plus loin possible dans mes entrailles. La salive de ma dévoreuse lui coule de la bouche et glisse dans ma fente et sur mes fesses. Elle pousse de plus en plus fort sur sa langue et sa salive lui coule au coin des lèvres pour poursuivre son chemin sur son menton puis sur ses gros nibards et son ventre. J’attrape sa main libre et la dépose sur mon engin pour qu’elle en apprécie toute la longueur et le diamètre mais sans le voir. Elle enfonce encore plus son visage entre mes fesses et sa langue me lime l’anus. Je dois l’arrêter sinon je vais gicler et je ne veux pas gaspiller ma semence. Je repousse son visage d’entre mes fesses et remonte mon slip.

- Lève-toi et viens avec moi. Je l’amène dans la cuisine et lui ordonne de s’étendre sur la table. Elle enlève de petites choses qui y traînent puis vient se placer à quelques centimètres face à moi et me demande, avec des yeux envieux et soumis : - Que vas-tu me faire ? - Étends-toi sur le dos, lui ordonne-je sans répondre à sa question tout de suite. Elle appuie ses deux mains renversées sur le bord de la table et se donne un petit élan pour tomber assise sur le bord. Elle me jette un nouveau regard enjôleur et impatient et s’étend de tout son long sur la table, les jambes pendantes. J’écarte ses grosses cuisses et lui enfonce, sans avertissement, deux doigts dans sa chatte brûlante. Elle est bien humide et mes doigts s’enfoncent sans problème. Je fais faire une excursion rapide à mes doigts fouineurs. Elle a une vulve béante. J’écrase son bouton d’excitation avec mon pouce et lui dit : - Tu as une caverne de plaisir immense, ma chérie. Tu dois avoir eu pas mal d’excursions là-dedans ? - Oui… Oui… Oh ! Robert… Comme c’est bon…

 

Je joins un troisième doigt sans aucune difficulté aux deux autres. Sa source de jouissance s’active et augmente le débit. L’intérieur de sa poche de plaisir est complètement trempé. C’est trop attirant. Je m’agenouille, attrape ses deux grosses cuisses et les dépose sur mes épaules puis j’enfouis mon visage à cet endroit le plus chaud de son corps. Sans tarder, j’écarte ses lèvres avec mes deux mains et un superbe morceau de chair appétissant m’apparaît, centré d’une ligne qui me montre qu’il y a quelque chose qui me désire un peu plus loin. Je colle mes lèvres sur sa vulve et j’enfonce ma langue humide dans sa crevasse. Je lui bouffe la chatte comme un enragé. L’effet sur Huguette ne se fait pas attendre et elle me déverse un torrent de liquide dans la bouche.